L’IVG ou Interruption Volontaire de Grossesse

08/11/2010 08:18

Une grossesse accidentelle est presque toujours mal vue par la société. Elle peut également bouleverser notre vie ou nuire à la réalisation de nos projets d’avenir en tant que célibataire. De peur d’avoir des remarques désobligeantes de son entourage, une femme enceinte décide souvent de faire une IVG. Une Interruption Volontaire de Grossesse présente de multiples risques pour la santé reproductive. Il est ainsi primordial de s’informer suffisamment avant de prendre une telle décision.

Des risques de stérilité dans le futur

A cause du manque d’informations et d’expériences sur la sexualité, plusieurs millions de cas de grossesses non désirées sont décelés chaque année dans le monde. Il existe des pays où la pratique de l’avortement est tout à fait légale. C’est notamment le cas de la France où l’IVG est autorisée par le code de la santé publique dans certains cas.
Différents procédés peuvent actuellement être utilisés pour mettre fin à une grossesse non désirée. Les professionnels santé qualifiés tels qu’un médecin généraliste ou un gynécologue obstétricien sont en mesure de décrire le déroulement de chaque méthode d’avortement. Leur finalité est la même : mettre fin à la vie du fœtus.

Les détails sur ces différents procédés d’avortement constituent généralement de bons arguments pour convaincre la femme enceinte d’éviter l’IVG. Les médecins appuient généralement leur argumentation par les risques que présente un avortement. Effectivement, un IVG peut dans certains cas mener au décès de la patiente. Si elle est pratiquée à répétition, elle risque de provoquer la stérilité. Il est ainsi important de réfléchir à deux fois avant de se lancer dans un avortement. Cela permettrait ainsi d’éviter les regrets suite à la stérilité dans le futur.